« Alouette, gentille alouette ♪ »
Il fait sombre. Les ruelles sont presque vides. Presque. Car une ombre est là. Elle glisse dans l’obscurité, ne fait qu’un avec le lugubre de l’endroit. Elle se trouve là, devant lui, mais ne l’a pas remarqué.
Lorsqu’elle le fera il sera trop tard. Lorsqu’elle se retournera elle ne verra pas davantage qu’un mélange d’obscurité et de rouge venu embrouiller sa vue.
Alors un cri, étouffé par la douleur, venu se perdre comme la vie qui la quitte, résonne faiblement dans la ruelle. Le corps tombe lourdement au sol, sans vie. Et l’ombre s’éloigne, interdite, silencieuse, furtive.
Plus jamais Arya ne verra le soleil.