Une peluche pas très tendre..

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Une peluche pas très tendre..
[PV Prude ♥]Lorsque mes yeux s'ouvrirent je les refermai directement. J'étais tellement épuisée que j'avais décidée de prendre une journée de libre. Pas de vol aujourd'hui, ou alors le soir.. Une demi-heure après je me levais parce-que j'arrivais juste pas à me rendormir et que la veille j'avais entendue parler
d'un lac magnifique. Moi, je m'en fichais de ce lac mais Citron m'avait fait ses yeux de biche et je n'avais pu résister, Citron sautait donc sur le lit pour me réveiller. Sachez que Citron faisait à peu près ma taille.. Je me levais donc et, après m'être habillée, je parti en direction du lac. Le chemin n'était pas très long et en arrivant je n'étais plus aussi fatiguée et je scrutais le paysage. Soudainement j'aperçus une femme avec une peluche. En fait je fixais plutôt la peluche.. Citron aussi l'avait aperçut et commença à s'agiter même si je lui disait toujours de ne pas se faire remarquer et que pour les autres une peluche qui parle ce n'est pas normal. Citron me refit son regard de biche. Il voulait que je donne vie à cette peluche.
-Tu peux même m'enlever de l'énergie si tu veux. S'il-te-plaaaait!
Des larmes apparurent dans ses yeux. Après avoir soupiré je me concentrai et j'enlevais un soupçon de vie à Citron pour en mettre dans cette peluche qui, je trouvais, faisait un peu peur.. Puis soudainement, la peluche bougea. Fière de mon œuvre, je m'approchait pour empêcher la propriétaire de prendre peur, telle une idiote j'avais complètement oublié que la peluche était accompagnée. Je m'approchai donc et je m'arrêtais devant cette jeune femme. Elle avait l'air d'être beaucoup plus âgée que moi et je n'osais donc d'abord rien dire. Je la fixais avant de regarder la peluche qui commençait à bouger et à se rendre compte qu'elle vivait.

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Une Peluche pas très tendre

CODAGE - EXCEPTION DE LG

Tic et tac, l'horloge continuait à faire tourner ses aiguilles d'un rythme régulier. Sur un lit, une chose roulait de gauche à droite jusqu'à tomber au sol. Ou plutôt se rattraper au sol. La jeune femme en pyjama s'était rattrapée telle un chat. Aujourd'hui c'était son jour de congé, elle profitait donc à faire une grosse grasse matinée pour récupérer le sommeil perdu. Ses jambes forçaient à relever le corps pour qu'elle puisse se tenir debout. Sa tête tournait doucement pour regarder Mono qui était à l'autre bout de son lit. Un simple soupire apparût sans vraiment savoir ce que la trésorière avait réellement dans son coeur.

Son corps s'approcha petit à petit de la fenêtre. Ses mains l'ouvrit et poussa les volets pour enfin laisser les rayons entrer dans sa demeure. Son bras s'approcha brusquement de son visage pour cacher ses yeux. Ah ! Le soleil était bien trop rayonnant aujourd'hui. Enfin tant que cela ne ressemblait point au feu qu'elle avait créé sur terre tout allait bien... ou presque. Ses yeux se tourna sur l'ourson en peluche. Son voeux ne s'était guère encore réalisé aujourd'hui. Allait-il être exaucé un jour ? Le destin nous le dira.

Marchant de pas ferme vers son lit, sa main s'approcha lentement du jouet. Hélas avant qu'elle puisse le toucher, sa main s'arrêta. Le regardant droit dans les yeux, un léger frisson parcourut son corps. La suédoise recula donc doucement et se jeta sur son placard. Les portes s'ouvrirent brusquement et les vêtements défilaient de gauche à droite. Cela continuait ainsi jusqu'à ce que Prude trouva enfin la tenu idéal. Une petite robe violet. Voilà une tenu peu habituelle.

Ses mains attrapa le bout de sa robe de nuit et la montèrent doucement. Plus le bout de tissu montait plus le corps se dévoilait. Laissant tout d'abord à vue, ses cuisses, ses hanches, son ventre, sa poitrine et blam le bout de tissu vola dans le ciel avant de retomber dans les mains de la jeune femme. Laissant son instinct faire le boulot, ses mains prirent la robe et un bikini avant de se jeter dans la salle de bain.

[Cette partie fut censurée par la narratrice ne voulant pas expliquer la scène du shampoing etc.]

Enfin elle était prête. Au loin, Prude vit un chapeau qui allait parfaitement avec sa robe. Elle s'approcha donc de l'accessoire et le plaça sur sa tête. Pour terminer, ses pieds fut recouverts par des sandales. Enfin elle était prête. Prenant Mono avec elle, celle-ci marchait tranquillement en direction du lac. Étant donné qu'elle vivait sur le chemin du grand lac, il lui fallut seulement cinq minutes pour arriver à sa destination.

Son corps se laissa soudainement tomber sur les fesses. L'herbe était doux et tendre aujourd'hui. La jeune femme posa sa peluche à côté d'elle et admira la vue. Le temps passait extrêmement vite. Pour le moment, la trésorière ne pouvait qu'admirer les Landes, mais cela lui suffisait amplement pour le moment.

Étant trop occupé à observer la beauté du lac, l'ourson commençait à prendre vie de son côté. Sa tête tournait de gauche à droite, son corps se redressa pour finir sur ses pattes arrières. Regardant sa maîtresse beaucoup trop concentrée, celui-ci la regardait en souriant. Étrangement celui-ci fit de drôle de mouvement. De vue on pouvait croire qu'il s'étirait comme une personne avant le sport ou qui venait de se réveiller. Sa patte se posa sur le bras de la jeune femme. Celle-ci tourna la tête avant d'ouvrir en grand ses yeux.

Badoum... Badoum.... Voilà ce qu'elle ressentait en elle. Sa main se posa doucement sur la tête de l'ourson et le caressa. Un léger sourire aurait pu apparaître, mais soudainement les deux amis d'enfance tournèrent leur tête pour regarder une petit fille accompagnée d'une peluche elle aussi. La sienne avait aussi l'air vivant. Était-ce elle qui a donné vie à Mono ? Prude n'avait point la moindre idée.

Hélas L'ourson en peluche sortit ses griffes - Mono est une peluche déjà étrange physiquement donc bon - Celui-ci bondit sur l'enfant pour que celle-ci tombe et il finit par la prendre par le col. Ses griffes se rapprochèrent du visage de la petite. A côté Prude pencha doucement la tête et sentit soudainement le danger que pouvait créer sa peluche.

« Mono arrête tout de suite ! »

La suédoise avait encore du mal à réaliser ce qu'il se passait réellement. Les griffes de l'ourson retournèrent à leur place et le jouet se jeta dans les bras de la jeune femme encore assise. La trésorière observa l'inconnue droit dans les yeux et prit la parole.

« Qui êtes-vous ? C'est vous qui a donné vie à ma peluche ? »

Non, cela ne la déplaisait point. Mais elle voulait savoir si cela était dû grâce à un miracle ou un pouvoir .

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Une peluche

pas très

tendre..
[PV Prude ♥]

La peluche me sauta dessus pour me faire tomber et alla me griffer lorsque la jeune femme me sauva en lui ordonnant:
« Mono arrête tout de suite ! »
L'ours nommé Mono sauta dans les bras de celle-ci et rentra ses griffes. La jeune femme sembla m'observer puis me lança:
« Qui êtes-vous ? C'est vous qui a donné vie à ma peluche ? »
Un peu mal à l'aise parce-que je n'avais pas su me retenir de donner vie à cette peluche, je me présentai:
-Je m'appelle Chamallow et.. J'ai effectivement donné vie à vôtre peluche.. Mais il ne vivra pas pour toujours.. Dès que j'arrêterais de lui fournir mon énergie il redeviendra une peluche normale..
Je ne pouvais me passer de Citron et l'alimentais pour cela depuis mon arrivée dans ce monde étrange. J'avais directement signalé que Mono n'allait pas rester en vie pour toujours parce-qu'il aurait été méchant de faire de l'espoir à cette jeune femme. Même si cette peluche ne semblait pas être très sympathique..

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La jeune femme écouta attentivement les mots de la petite. Elle n'en perdit pas une seule miette. Toutes les informations dites par celles-ci étaient très importantes. Alors, comme ça la peluche n'allait pas rester vivant pour l'éternité ? Le moment de bonheur en compagnie de sa peluche n'aurait qu'une durée limitée ? Alors, le bonheur de la trésorière n'était guère encore arrivé. Son visage s'adoucit et sa tête se baissa, les yeux rivés au sol. Malgré l'honnêteté de la jeune fille, Prude ne voulait point voir la réalité en face. Quand elle avait vu Mono, tout ce qu'elle voulait faire avec lui ne pouvait être fait. Le temps de vie qui s'écoulait dans l'ourson s'écoulait comme un petit grain de sable dans son sablier. L'inconnue face à la suédoise n'était que celle qui a retourné le sablier en la peluche. Hélas combien de temps le sable du sablier allait-elle durée ? Quand le dernier grain de sable allait se terminer ? Dans tous les cas, la seule personne qui pouvait choisir la durée de l'écoulement des grains de sables n'étaient que la blonde.

Soudain Mono enlaça la trésorière. Sur son dos, il ressemblait à un petit enfant prêt à jouer. Celui-ci n'avait que pour but de réaliser à Prude qu'elle perdait du temps. Un sourire apparut aux lèvres de la jeune femme. Sa main caressa l'ourson puis ses yeux finirent sur la blondinette. Un léger sourire aux lèvres celle-ci soupira un léger merci. Prenant la peluche dans ses bras et ne voulant plus la quitter tant qu'elle était vivante, la suédoise reprit la parole pour tout de même créer un dialogue.

« Merci... Merci beaucoup. Même si la durée de vie de Mono est courte, je profiterai de ce moment pour m'en souvenir. Ah excusez-moi, je me nomme Prude. »

Caressant le dos de l'animal artificiel, son attention se posa sur la peluche auprès de la petite. Celui-ci avait l'air vivant à son tour. Étant beaucoup trop intriguer sur celle-ci, Mono devint jaloux et sauta droit sur la peluche que la trésorière venait de s'apercevoir. Une crise de jalousie ? Lui aussi pouvait donc avoir des sentiments. La jeune femme arqua un sourcil et observa la scène entre les deux peluches qui devenait de plus en plus violant.

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[PV Prude ♥]
La jeune femme resta pensive un certain moment en caressant Mono qui venait de lui sauter dans les bras avant de prendre la parole.
-« Merci... Merci beaucoup. Même si la durée de vie de Mono est courte, je profiterai de ce moment pour m'en souvenir. Ah excusez-moi, je me nomme Prude. »
La jeune femme semblait vraiment reconnaissante et je la comprenais. Malgrès l'agacement que Citron provoquait en moi, il était mon seul et mon plus chèr ami. Elle s'appellait donc Prude, j'aimais bien ce pseudo discret.
J'allais me présenter à mon tour lorsque je remarquai que Prude fixait Citron et que, deux secondes plus tard, sa peluche se jetta sur lui. Citron était un voleur et Mono semblait être très agressif, leur bagarre devint donc rapidement très violente. En pensant à Prude, je me retenais de enlever toute son énérgie à Mono. Mais il fallait bien stopper ces deux peluches enragés,je pris donc (non sans me prendre quelques coups de griffes) Citron par l'oreille avant de le prendre dans les bras et de le fusiller du regard.
-Bon sang! Arrêtez de vous battre! Sinon je vous retire votre énergie à tout les deux! Mono! Toi, tu souhaite avoir le plus de temps possible avec Prude non? Alors tiens toi correctement! Citron! Lorsque quelqu'un te provoque tu dois essayer d'empêcher le conflit!
Je soupirai en pensant à l'air ridicule que cette scène devait avoir: une petite fille de 10 ans qui engueule deux peluches. Je me sentais quelque peu honteuse mais j'essayai de changer le sujet avant que Citron ou Mono relancent une dispute.Après quelques moments de réflexions je n'avais toujours pas trouvé quoi que ce soit à dire et je regardai donc vers le côté d'un air surement très gêné.
J'étais fatiguée.. Ce n'était pas leur propre énergie que les deux peluches avaient utilisée, c'était la mienne.

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Une Peluche pas très tendre

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La gamine engueulait deux peluches... Si cette scène se déroulait sur terre, la trésorière trouverait cela complètement immature et idiote, mais ici elles étaient dans un autre monde. Où les peluches pouvaient vivre comme des humains, où on pouvait devenir l'homme invisible -ou la femme invisible dans le cas de Prude-. Peut-être que cela était amusant à voir, mais l'humour de la jeune femme était tellement compliqué que même pas un seul sourire apparut sur son visage. Comprenant les sentiments de sa peluche, elle haussa les épaules avant de prendre la parole d'un ton monotone.

« Je sais que tu es jeune etc, mais laisse les se battre s'ils le veulent. Ou encore plus simple enlève la vie de ma peluche. Je sais ce qu'il ressent, il veut peut-être me protéger, c'est peut-être un possessif, mais c'est moi qui l'a éduqué ainsi en restant avec moi. »

Son corps se leva, enfin elle n'était plus affalée sur l'herbe. Tendant la main vers Mono, celui-ci arrêta de se battre en finissant un coup de poing sur l'autre peluche. Sa patte se posa sur la main de sa maîtresse, son corps se fit ensuite emporté par les bras qui commencèrent à l'entourer. Prude câlinait son ours en peluche, l'une des seules choses qu'elle câlinait. Père et mère n'était plus là, il ne restait que lui. Avoir commis un pêcher en tuant des gens, mais en pensant d'avoir fait à la fois une bonne action. Malgré son âge elle aussi avait beaucoup de choses à apprendre. Ses yeux observaient la petite à chevelure blonde. Ne sachant point si elle devait l'aimer, la trésorière ne sortit de nouveau un simple merci avant de faire demie-tour.

« Un jour on se reverra, de toute façon, le monde n'est pas plus vaste que la Terre par ici. »

Laissant son corps guider vers le chemin de la maison, sentant sa peluche perdre vie petit à petit. De petites larmes tombèrent. Ce petit bonheur était terminé. Mono n'était point fait pour avoir une vie, il était déjà vivant dès le début, dans le coeur de Prude.

[hrp: Tout dépendra du comment tu vas répondre au rp, soit ta réponse le cloture soit au contraire il permet de continuer avec espoir ^^ ]

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[PV Prude ♥]
Prude haussa les épaules avant de me dire:
-« Je sais que tu es jeune etc, mais laisse les se battre s'ils le veulent. Ou encore plus simple enlève la vie de ma peluche. Je sais ce qu'il ressent, il veut peut-être me protéger, c'est peut-être un possessif, mais c'est moi qui l'a éduqué ainsi en restant avec moi. »
Face à ces mots je ne sus que dire. Je me sentais honteuse et petite comparée à ces mots qui venait d'être prononcés. Je pus m'empêcher de rougir de honte mais j'eu tout de même besoin d'un petit moment avant de réussir à trouver mes mots mais lorsque je m’apprêtais à dire quelque chose Prude se leva se retourna et me remercia avant de me regarder deux secondes et de me lancer:
-« Un jour on se reverra, de toute façon, le monde n'est pas plus vaste que la Terre par ici. »
Pendant un moment j'hésitais à la retenir plus longtemps puis je dis:
-C'est vrai. Je te dis donc Au revoir. Et aussi à toi, Mono.
Un sourire m’échappa et je me retournais rapidement avec Citron dans les bras agacée par mon propre comportement. Je soupirai : Citron se plaignait d'avoir faim ce à quoi on rentra immédiatement pour calmer sa faim et la mienne aussi.
[Donc c'est fini! : )]

» des débats très très sérieux ft. riddler le canard
» Stomak, une alimentation diverse et très variée.
» Pas besoin d'aller très bien pour trouver la Graisse \o/

Une peluche pas très tendre..

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