AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  

Le Deal du moment : -50%
-50% Baskets Nike Air Huarache
Voir le deal
64.99 €

Partagez
 

 Tous les flocons ne sont pas blancs. -libre

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Invité
Invité
Anonymous


Tous les flocons ne sont pas blancs. -libre Empty
MessageSujet: Tous les flocons ne sont pas blancs. -libre   Tous les flocons ne sont pas blancs. -libre Icon_minitimeLun 14 Avr - 3:40


all snowflakes aren't white


Blaze tente de contenir le feu qui se propage sur ces panneaux de bois, ces pans de murs d'une maison effondrée. Il souffle, le front baigné de sueur ; ses muscles éreintés par ses efforts protestent lorsqu'il essaye de les soulever. Une fille est coincée à l'intérieur. Il l'a vue, de loin, la main encore tendue vers le ciel quand son foyer lui est tombé dessus. Une petite gamine, haute comme trois pommes, il sait plus comment elle s'appelle mais ne veut pas s'en souvenir, une gamine qui avait une vie, là, il y a quelques jours (Semaines ? Mois ? Heures ? Blaze n'a plus la notion du temps, son monde semble s'écrouler comme cette maison, petit à petit, depuis une éternité).

Et puis il trouve , entre deux planches, une jambe pâle et figée, froide et tordue en un angle étrange, brisée par le poids des planches bien trop lourdes. Blaze s'entend hurler de colère, Blaze s'entend chuchoter des mots de réconfort. Puis il se sent épuisé, ses genoux frappent le sol et ses mains plongent dans la terre. La gamine est morte. Morte depuis des heures, depuis le début, mais Blaze avait le fol espoir de sauver tout le monde ; et son échec lui semble insupportable, inconcevable.

Il neige. Blaze aime la neige. Mais celle-ci n'est pas froide, celle-ci ne fond pas. Elle tâche, elle est noire, et marque sa peau, se mélange à sa sueur, peint ses vêtements. Blaze regarde d'un air hébété les Landes brûler. Les Landes, chez lui. Chez ses parents. Chez ses amis. Chez ses collègues. Blaze se remémore, bêtement, à genoux, devant le corps sans vie d'une enfant, de toutes les personnes qu'il a pu croiser. Il se demande s'ils sont encore en vie, s'ils ont rejoint les Exilés par peur, s'ils organisent une défense, s'ils sont... Morts. Avalés par les flammes, piétinés par des habitants en panique, percés par des armes.

Blaze est brisé, ses yeux pleurent de colère et de tristesse. Ses mains pleines d'échardes sont enflées, ses vêtements déchirés humides. Il est pathétique, il semble représenter la résignation, le désespoir. Mais il s'en fiche. Il est vivant, il est là. Il n'est pas un corps, il est humain ; il a peur, il tremble, il gémit, il hurle.

Blaze reste un moment comme cela, prostré dans son silence. Il entend, de loin, une explosion, des cris ; plus près, il entend les voix chuchotées des blessés gisants au sol, dans la ruelle avoisinante, le crépitement de feu proche qui se meurt.

Et ses yeux, rougis par les pleurs, se lèvent au ciel d'un noir d'encre, la suie qui se dépose sur son visage le rend méconnaissable. Une lueur nouvelle l'anime, ; une colère, un sentiment d'injustice qui fait bouger ses bras, ses jambes ; et Blaze se lève, déterminé. Oh, ce n'est pas le regard d'un héros qui demande vengeance. Il n'est pas comme ça ; il a conscience d'être une piètre personne, bien trop couard, bien trop craintif pour cela.

C'est le regard d'un humain qui veut survivre, survivre sans abandonner face aux Exilés, survivre sans perdre la personne qu'il est. Alors allez brûler, Exilés, Blaze, lui, a décidé de se battre. Il est couard, il n'est pas courageux, mais il a sa fierté. Il ne vous laissera pas le transformer en une personne qu'il méprisera, dont il aura honte.


HRP : je reprends le rp doucement, donc ça reste pourri hahahah -meurt et vole plus loin-


Dernière édition par Blaze le Dim 25 Mai - 14:40, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Khaleesi
de la Vallée du Vent
Khaleesi

Messages : 250
Age : 25

Âge physique : La vingtaine
Âge mental : 27 ans
Groupe : Vallée du Vent
Dons : ♠️ Dessins animés
♠️ Anesthésie
Chronologie : Fire cannot kill a dragon.

Tous les flocons ne sont pas blancs. -libre Empty
MessageSujet: [ABANDONNE]   Tous les flocons ne sont pas blancs. -libre Icon_minitimeVen 2 Mai - 0:47


C'est dans les pires moments que l'on voit les

vrais amis.



Il y a quelques jours de ça, le pays était paisible et en fête, comme à son habitude. Mais un terrible événement a bouleversé ce petit trin trin quotidien.

Et aujourd'hui, les rues autrefois pavé des Landes se retrouvaient jonchées de sang et de cendres.

La Raison? La Rebellion.

Je ne pouvais plus tenir. Rester assise à me tourner les pouces, alors que dehors des centaines d'innocents se faisaient massacrer? Impossible. Plus possible. Je devais agir, sauver et même tuer. Si je devais tuer une seule personne pour en sauver le double, je n'hésiterais pas un instant. Je suis de cette nature et je le serais pour toujours. Pas une faible, pas d'une grande force mais d'une bonne aide. C'est pourquoi, j'allais partir en guerre. Oh oui, en guerre. Ma première, plus exactement. J'étais une novice dans le domaine et cela ce voyait bien à ma préparation physique.

Je n'avais rien pu faire de spécial et mes seuls compagnons étaient deux grands chocobos, harnachés à la va-vite. Un peu de nourriture, de l'eau, une trousse de secours, des armes. Mon inventaire était complet. J'emportais le nécessaire, craignant une possible arrestation. De plus, je devais me ménager. Pour protéger ma maison et la forêt, j'allais devoir faire appel à mon pouvoir. Une très grande partie de mon pouvoir.

La veille de ça, j'avais commencé le croquis d'un dragon immense, un dragon bienfaisant. Le protecteur de ces terres. Avec lui, un grand magicien. Tout deux chargés de bloquer l'accès de la forêt aux intrus. Je savais bien qu'il me faudrait un courage immense pour invoquer de telles bêtes et j'étais prête à ça. Enfin, partiellement prête.

Tout s'était passé si vite, la destruction des Landes et l'intrusions des Exilés dans les autres territoires.. Enfin. Je me remettrais de mes émotions pendant l'après-guerre. Pour le moment, je devais avoir comme seul objectif en vue, ''Sauver le plus de vies.''

Le moment enfin arrivé, je finissais mon dessin pour qu'il s'anime et puisse agir en toute liberté. J'enfilais une grande cape sombre et je grimpais sur la première monture. La deuxième étant accrochée à l'arrière et montée par des paniers d'osiers, nous étions enfin prêts..

..Prêts à guerroyer.

Après une petite balade de santé, j'étais englobée dans l'ambiance sombre et dangereuse de la ville. Un frisson me parcourra et se fit sentir à mes oiseaux. Je l'encourageais une ultime fois et partis le plus vite dans cette foule de décombres. Je n'avais aucun mal à me faufiler discrètement entre les ruelles, sans faire de bruit et en filant le plus rapidement possible. Je galopais un moment pour enfin atterrir dans les quartiers commerçants. C'était ici même que les dégâts étaient les plus importants. Des cadavres en morceaux, calcinés, s'étalaient sur le sol. Parmi eux, des enfants et des vieillards. Des femmes et des hommes. Des chiens et des chats.

Etaient-là, les effets d'une guerre. Les résultats des guerres sont horrifiants, vu que la cruauté humaine est bien la pire de toutes. L'homme n'a pas de limite et le jour ou la roue tournera, il n'y aura plus rien à faire. Mais pour le moment, la seule priorité était de stopper ce massacre et remettre les exilés à leurs places.

Il fallait que cela cesse ou les résultats seraient catastrophiques et il n'y aurait plus d'espoir.. que dis-je! Tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir! Sauver, sauver, sauver!

Pour ne plus divaguer à ce point, je posais pied-à-terre pour apporter mon aide.
Au même moment, j'entendis des hurlements. Des hurlements de tristesse et de haine. En tournant la tête vers leur origine, je fus agréablement surprise de voir un ami à moi sur ses deux jambes. Debout, fier et vivant.

J'accourais le plus rapidement possible à sa rencontre, toute larmoyante et suivi par mes compagnons. Un dernier saut par-dessus ces morceaux de maisons brûlées et sans hésiter je le pris dans mes bras. Enroulant mes bras autour de son cou, je finis par craquer.

A fondre en larmes dans les bras de mes amis, j'allais finir par attirer l'attention des ennemis. Je me remis de mes émotions rapidement et recula un peu pour essuyer mes yeux trempés et ma peau noircie. A cause des cendres tombantes, ma chevelure argentée et les plumes dorés de mes amis se fondaient dans le décor. La scène apparente était comme un petit feu dans un hiver glacial, une source d'espoir. J'avais foi en moi et foi en mes amis.

"Mon pauvre Blaze.. Mon arrivée brusque a dû te choquer.. Enfin bon. Tu devrais venir avec moi, nous ne sommes plus en sécurité ici. Je suis venue pour la population.. restante des Landes. Je pense que tu penses comme je pense. Avec mes oiseaux, je peux porter deux ou trois personnes, ce serait déjà ça.."

Je ne prenais plus le temps de respirer et finit par tousser. Je me posais un peu contre ma monture et regarda le brun en face de moi. Pour essayer de le convaincre, je souris..

..car dans la pire situation un sourire peut tout changer. Il vous suffit simplement d'espérer. Et l'espoir n'est pas ce qui manque le plus, ici, à Skies Kingdom, le royaume ou tout est possible.


codage par Palypsyla sur apple-spring

Ps:

RP ABANDONNE - ByeBye Blaze :c


Dernière édition par Khaleesi le Dim 28 Sep - 17:03, édité 2 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous


Tous les flocons ne sont pas blancs. -libre Empty
MessageSujet: Re: Tous les flocons ne sont pas blancs. -libre   Tous les flocons ne sont pas blancs. -libre Icon_minitimeDim 25 Mai - 14:54


all snowflakes aren't white


Blaze ne sait plus ce qu'il voit, sa vision est rendue floue par ses larmes. Il cligne des yeux, une, deux, trois fois ; il veut paraître fier et courageux, mais tout reste une agglomération de lumières et d'ombres, de rouge et de noir. Blaze n'a pas le temps de voir, n'a pas le temps de se préparer aux bras qui l'enlacent, aux baisers mouillés qui humidifient ses joues ; il ne sait si ce sont ses larmes, ou si ce sont celles de Khaleesi qui coulent le long de son cou, de sa mâchoire.

Il la reconnaît à sa douce voix, apaisante, à son parfum de roses, de papier neuf et d'encre ; et Blaze resserre ses bras autour de son corps, plonge sa tête dans son cou. Il se permet un moment de répit dans ce paysage désolé, un moment où il pense à un peu tout, où il s'évade l'espace de quelques instants pour ne pas plonger dans la terreur et la panique. Pour la première fois depuis le début de ce cauchemar, Blaze rencontre un visage amical. Enfin. Il ne reflète pas entièrement de la joie, juste un grand soulagement, et Blaze est heureux que ces doux traits soient déterminés, fiers, et non empreints de désespoir.

Blaze prend un moment pour étudier les prunelles brillantes de Khaleesi. Malgré la suie, malgré son air grave qu'il n'a jamais vraiment vu, la jeune femme resplendit à la lueur des flammes, sa chevelure d'argent (Blaze se rappelle soudainement de l'air renfrogné de son amie lorsqu'il l'a qualifiée de blonde) danse avec le souffle du vent.

Et puis la réalité frappe Blaze. Khaleesi a raison. Ils doivent partir, fuir, se mettre à l'abri, sauver des braves gens –Blaze s'empêche à penser au terme « amis » pour de pas faire une crise de panique. Mais dans cette masse de corps mutilés, dans cette foule de blessés, ils ne peuvent, comme Khaleesi l'indique, porter deux, trois personnes au plus. Sauver les enfants, les vieillards en premier ? Sauver des personnes valides pour qu'ils puissent aider ? La lourde tâche de choisir repose sur les épaules des deux amis, et dans l'air, dans sa tête, dans l'indécision qui le possède, Blaze entend sa propre voix lui dire d'une voix presque hautaine, tu ne peux sauver tout le monde.

Il sait qu'il pourrait, à défaut de sauver tout le monde, sauver plus de monde. Il suffit de se concentrer, de laisser le sentiment familier de sa peau qui s'étend l'habiter, de laisser cette douleur sourde envahir son corps. Mais Blaze, Blaze ne peut leur infliger ça. Ces gens blessés, qui ont presque abandonné tout espoir, n'ont pas besoin qu'un monstre vienne les sauver. Ils ont besoin d'une héroïne, d'un visage apaisant et doux, pas d'une créature difforme, incapable de communiquer, une chose dangereuse qui pourrait les tuer par inadvertance.

Mais Blaze se rend vite compte qu'il n'a pas le choix, que ce monstre en lui peut sauver trois personnes en plus, peut défendre les autres, peut se déplacer plus vite. Alors Blaze observe Khaleesi. Il l'observe, plonge ses yeux rougeâtre dans l'océan qu'offrent ceux de son amie, et lui demande la permission de se transformer, d'utiliser ce pouvoir qu'il déteste.

« Je ne veux pas leur faire peur, ils n'ont pas besoin de ça, ils ont besoin d'un visage doux, d'un visage qui leur dit que tout va bien, qu'ils vont être en sécurité, tu vois ? Ils n'ont pas besoin de plus de terreur, plus de... monstres. »

Blaze se tait et baisse les yeux, observe la terre retournée, les centaines de traces de pas qui la marque.

Revenir en haut Aller en bas
Regard
de la Cité Yubaba
Regard

Messages : 131
Age : 31

Âge physique : 21
Âge mental : 21
Dons : Communiquer avec les fantômes
Contrôle du feu

Tous les flocons ne sont pas blancs. -libre Empty
MessageSujet: Re: Tous les flocons ne sont pas blancs. -libre   Tous les flocons ne sont pas blancs. -libre Icon_minitimeDim 15 Juin - 15:22

Elle virevolte et tombe, refroidit, grise, la cendre recouvre peu à peu ses cheveux noirs de jais,  plus noirs encore que les restes brûlés d’une cité dévasté. Les landes sentent la mort, le sang et les cendres froides. Elle a du mal à se repérer, le paysage à trop changer, elle ne retrouve plus les murs familiers, les odeurs des boutiques ou le bruit des fontaines. Elle avance doucement pour ne pas trébucher sur les ruines d’un quartier autrefois habité.

Pourtant dans son regard, pas de confusion ou de doutes, pas de peur ou de pleurs. Oreilles aux aguets, elle écoute. Le crépitement des flammes survivantes, les lamentations, les gémissements, le dernier souffle de quelques mourants. Et puis les attaques, car certains continue, certains sont resté pour continuer leur vengeance aveugle. Sans hésitation, elle frappe le malveillant le plus proche. Elle avait clairement l’avantage malgré son handicap, et il prit peur. Il s’enfuit comme un lâche, mais plutôt que de le poursuivre, elle décida de lui laisser une chance, comme à tous les autres :

« La prochaine fois que je tu t’en prendras à un des miens, tu ne t’en sortiras pas aussi facilement ! Retourne d’où tu viens si tu ne veux pas le payer de ta vie ! »

Elle se tourna ensuite vers la personne qu’elle venait de sauver. Celle-ci tremblait de tout son corps, mais ses jambes semblaient encore en état de marcher. Elle l’aida à se relever, et sa voix se fit plus rassurante :
« Viens, il faut aller à un endroit sûr. »

Elle avait toujours eu du mal à mettre des intonations dans sa voix, mais depuis la mort de cette fille masqué, quelque chose avait changé au fond d’elle, et même si c’était plus discret que chez les autres, elle commençait à pouvoir exprimer quelque chose.  
En revenant dans les landes, elle avait aussi réalisé quelque chose d’important. Ici, c’était chez elle. Ses habitants, ses rues, ses plaines, c’était sa ville, son royaume, son monde. Elle n’avait jamais eu ce sentiment d’appartenance ailleurs qu’au dôjo dans l’autre monde, mais maintenant, elle avait une place. Et elle allait protéger cet endroit, quitte à trancher de son katanas ceux qui ne saisirait pas la deuxième chance qu’elle leur donnerait à tous.

Au loin, la brune entendit des hurlements.  Il est pourtant loin, très loin, mais elle reconnut cette voix. L’homme qu’elle entend n’est pas celui qu’elle connaît. Blaze était un peu pot-de-colle quand il s’y mettait, la poussant dans les pattes d’inconnu, tentait de la rendre plus ouverte. Mais maintenant, il n’avait plus envie de rigoler, il était pleins de colère et de détresse.

Tsukiyo commença à marcher dans cette direction, elle voulait voir ce visage familier. Il était toujours vivant ! D’autre l’était sûrement, il fallait se souder, s’organiser. Mais son compagnon n’avait pas assez de force pour marcher seul. Elle le mit sur son dos et avança. Bientôt il repéra un petit chariot en bois en état de marche. Quelqu’un avait dû l’utiliser pour faire ses livraisons quand tout allait bien.  Elle le prit, y fit monter l’autre.  Cela se trouva fort utile, car bientôt son ouïe sur-développée repéra une mère et son enfant blessé qui se cachaient. Elle les invita à les rejoindre. Elle avançait en évitant les ennemies qu’elle entendait arriver de loin, faisant plusieurs petits détours ou suivant les conseils de ses compatriotes.

Peu avant d’arriver sur les lieux, elle entendit Blaze retrouvait une connaissance à lui. Le jeune fille pleurait mais pas de désespoir :
"Mon pauvre Blaze.. Mon arrivée brusque a dû te choquer.. Enfin bon. Tu devrais venir  avec moi, nous ne sommes plus en sécurité ici. Je suis venue pour la population.. restante des Landes. Je pense que tu penses comme je pense. Avec mes oiseaux, je peux porter deux ou trois personnes, ce serait déjà ça.."


Elle avait l’air forte, et la fille aux yeux de lune éprouva tout de suite de la sympathie pour cette inconnue. Le brun par contre, se mit à parler de façon mystérieuse : pourquoi ferait-il peur aux autres ? Qu’entendait-il par « monstre » ?

[Coucou, je peux m’incruster ? (vous pouvez dire non, ya pas de problème j’ouvrirais un nouveau RP) Si tu veux répondre « avant » l’arrivée du petit groupe, Khaleesi, vas-y, tu n’auras qu’à mettre dans ton rp que tu parles et qu’après tu vois Tsuki arriver]

Enfin, elle tourna et déboucha à l’endroit où les deux parlaient. La fille aux yeux de lune ne savait pas quoi dire, elle s’avança donc en silence, attendant qu’ils remarquent le bruit du chariot.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé



Tous les flocons ne sont pas blancs. -libre Empty
MessageSujet: Re: Tous les flocons ne sont pas blancs. -libre   Tous les flocons ne sont pas blancs. -libre Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 

Tous les flocons ne sont pas blancs. -libre

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» « On dit : la nuit tous les chats sont gris. Faux : tous les chats dorment. »
»  Tous les matins du monde sont sans retour.
» Ce sont des Choses qui arrive.
» Où sont passés les livres ? [Ft Berry]
» Les animaux sont de meilleures compagnies

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 ::  :: Quartier commerçant-